Les psychiatres portent une lourde responsabilité dans les décisions de libération, d’autant plus que les juges suivent leur avis dans la grande majorité des cas. Du coup ils risquent de faire eux-mêmes l’objet d’une plainte pénale. Les autorités pénitentiaires aussi.
_ Plus : résumé de divers articles, A-C M-S, févr. 2013