Président de la Commission nationale de prévention de la torture (voir ci-dessous) depuis sa création en 2010, Jean-Pierre Restellini a terminé son mandat à la fin de l’année dernière. Il tire un bilan critique de cette expérience.
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Plus : Sylvie Arserver, Infoprisons, avril 2016, Trois quarts des détenus n’ont pas leur place en prison