A la suite de la mort d’Adeline, en septembre 2013, le Conseil d’Etat genevois avait infligé une sanction sévère à la directrice du Service d’application des peines et mesures (SAPEM), en la rétrogradant au statut d’employée. Mais elle a fait recours et la chambre administrative de la Cour de justice a rendu à fin août un arrêt qui la met hors de cause. Ses considérants donnent un éclairage intéressant sur la responsabilité de ceux qui doivent décider d’une sortie ou d’une libération.
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