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Expliquer le crime par une déficience du cerveau permet aussi de prévenir la récidive

De nouveaux instruments techniques, profils ADN, reconnaissance faciale, imagerie médicale, mis au service de la police ou des juges ouvrent des perspectives nouvelles pour élucider des infractions, détecter des tendances criminelles chez certains individus et tenter de les prévenir. Des psychiatres, grâce aux neurosciences et à l’imagerie cérébrale, parviennent à faire le lien entre un comportement délictueux et un dysfonctionnement du cerveau. Pour les accusés, cela peut servir à se déclarer irresponsables de leurs actes ; pour la police, à prédire la récidive. Une méthode contestée.

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Plus : Florence Rosier ; Le Temps ; 09.02.19 ; « Les neurosciences investissent les tribunaux »